— Tu la
trouves comment ?
— Elle est
belle, admis-je, très belle même. Mais c’est toi que j’aime.
Elle me
mordilla l’oreille, me provoquant un frisson et ajouta d’une voix
coquine :
— C’est
tout ? Elle doit te faire de l’effet tout de même !
— Je… non,
enfin pas vraiment.
Sa bouche
s’aventura dans ma nuque, me comblant de baisers. D’un geste vif, elle posa sa
main sur mon bermuda. Je sursautais, surpris de sentir ses doigts sur mon sexe
tendu à faire sauter ma braguette.
—
Menteur ! s’exclama-t-elle en riant. L’inverse aurait été anormal, je
serais même inquiet, ajouta-t-elle avec une pointe de malice.
Sans
attendre, elle défit les boutons et extirpa de mon caleçon noir ma verge dure
comme du bois. Mon cœur s’emballa, « qu’est-ce qui lui
prenait ? ». Je protestais :
— Tu es
folle, et si elle se réveillait.
— Et bien,
me susurra-t-elle, je suis sûr que cela l’amuserait beaucoup...
Aline me
surprenait de plus en plus. Je la trouvais méconnaissable depuis notre arrivée
dans le chalet, beaucoup plus dévergondée que je ne l’avais imaginé. Blottie
dans mon dos, elle se mit à étaler délicatement sur mon gland le peu de sperme
qui perlait de sa petite bouche, s’amusa à faire glisser son index dessus ce
qui me provoqua un regain de désir. Elle se positionna mieux, collant ma cuisse
droite dans son entrejambe, et saisit mon sexe à
pleine main. C’était la première fois qu’elle me masturbait, et sa chaleur, ses
baisers incessants m’enflammèrent. Une situation d’un
érotisme torride, avec pour toile de fond un paysage splendide et Valérie nue
au pubis pointant au-dessus de son ventre plat comme une plaine.
Aline ne
devait pas en être à son coup d’essai, elle alliait délicatesse et vigueur dans
ses allées et venues qui me faisaient succomber. Je la sentis se tortiller
derrière moi, frotter son sexe contre ma jambe. Elle aussi prenait du plaisir
en m’en donnant, et son souffle toujours blotti dans ma nuque devenait brûlant,
sa respiration s’accélérait en même temps que la mienne. Elle profitait elle
aussi, et par l’attention qu’elle prenait à me caresser je réalisais à quel
point elle aime cela, elle aimait avoir un sexe en main, dur et long, qu’elle
fantasmait en me masturbant.
L’orgasme
fut violent, intense. Il me vida intérieurement alors que mon jet de sperme se
dispersait entre les brindilles d’herbe. Une sensation de plénitude,
d’apaisement intérieur inouïe me laissa un instant immobile, puis je me
retournais vers Aline et l’enlaçais, la couvrais de baisers.
Lorsque
Valérie se réveilla, elle ne pouvait deviner notre jeu érotique durant son
sommeil : nous étions allongés l’un contre l’autre, je caressais avec
amour le visage de ma tendre compagne qui me le rendait avec autant de passion.
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